Le 7 octobre, un commando du Hamas arrivé par la mer se dirige vers le kiboutz Zikim. Il est décimé par l'armée israélienne. Le même commando est ensuite attaqué par des soldats d'une base militaire située sur leur chemin. Les terroristes ne sont plus que 8 ou 9 quand ils arrivent devant les grilles du kiboutz. "Ils auraient pu être 100 ou 150 comme ils ont été à Nir Oz", raconte Marki Levy qui est resté des heures enfermé dans un abris avec ses deux petits enfants et sa femme. Aujourd'hui domine le desarroi, les questions sans réponses et l'inquiétude pour l'avenir. "Je ne suis pas sorti des problèmes, je suis en plein dedans", souligne M. Levy qui a été évacué vers une ville loin de son village collectif.